Les mains dans le dos
Si quelqu’un vous demande à quel point une femme peut-elle être capable d’amour... Parlez lui de l’histoire de Florence Monardier ; une petite fille qui aimait à rire en tenant ses mains dans le dos ! Ce roman parle d’amour ; le plus grand qu’il soit ! Il parle aussi de haine. Mais il y a aussi cette violence gratuite et sordide inspirée par la vengeance... On ne peut pas le lire sans qu’il laisse une trace, une colère. Moi-même qui l’ai écrit, je me demande parfois si je l’ai imaginé ou si c’est un drame que j’ai vraiment vécu... Elle aimait tant qu’elle dû mourir pour oublier qu’elle aimait.
iggybookÉditeur : | Editions Le Manuscrit | Langue : | français |
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Genre : | Littérature | Sortie : | 4 septembre 2002 |
Sous-genre : | Roman | Collection : | roman |
Biographie
François Cyriaque
Rapatrié d'Algérie, autoditacte, je commence à écrire à l'âge de 14 ans. Le besoin d'écrire, de créer un univers et des personnages une question vitale. Le besoin d'écrire comme le besoin de respirer, la phrase qui démange. De tous les métiers que j'ai éxercé, je n'ai pu trouver le besoin de perfection, le don de soit et l'honnêteté autant que dans l'écriture. La solitude qu'un écrivain éprouve devant sa page blanche est l'univers où je me sens le plus libre.